Commerce international : les critères à respecter lors de travaux de traductions

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Publié le : 01 août 20195 mins de lecture

Les échanges commerciaux entre diverses nations s’amplifient avec la montée en force de la globalisation actuelle. La langue anglaise n’est plus la seule langue utilisée au cours de ces échanges. Le domaine linguistique des affaires s’étend désormais vers d’autres horizons. Ainsi, la rédaction des contrats liés à l’achat ou à la vente de produits, puisqu’il s’agit de commerce, nécessite l’intervention d’une tierce partie.

L’utilité de la traduction de contrat

La rédaction du contrat relève de la validité du contrat lui-même. Le contrat établi devrait être compréhensible par les co-contractants. La langue utilisée  pour sa rédaction doit être saisie par les différentes parties. De ce fait, il se doit de bien englober toutes les clauses à respecter par sa signature. Aucune des idées émises par les parties au contrat ne devrait être omise, chacune doit y être exprimée. D’où l’utilité de la traduction du contrat. Pouvant s’agir d’une traduction du français en anglais, de l’anglais en espagnol, en italien ou bien d’autres langues encore. Un traducteur international connait mieux que quiconque la langue qu’il emploie et les jargons juridiques à y utiliser. Cependant, il faudra faire appel à un traducteur assermenté, qui est reconnu par les cours d’appel. En effet, les documents assermentés ont plus de valeurs aux yeux de la loi. En cas de litige ou de non-exécution de tout ou partie du contrat, la version traduite peut faire l »objet de preuve à présenter devant le tribunal. Plus d’information sur la traduction de contrats en commerce international peuvent se voir sur www.bonnefous.com.

Les étapes à suivre pour la rédaction de contrat en échange international

Les démarches du contrat de commerce à l’échelle nationale et internationale sont quasiment les mêmes. Le vendeur et l’acheteur se concertent sur les conditions de vente. Le prix auquel la marchandise sera vendue est déjà prédéfini. Elles rédigent à la fin le contrat qui régit tous leurs accords. Cependant, la différence de pays nécessite des précisions sur certains points à savoir la juridiction qui régit le contrat. Les deux parties doivent choisir, en premier lieu, avant de suivre ces différentes étapes, le cadre juridique dans lequel elles feront affaire: celui du pays de l’acquéreur ou plutôt du vendeur. Puis, ils rédigent chacun de leur côté les termes du contrat et toutes les clauses doivent y figurer, ainsi que le cadre juridique déjà adopté. Ensuite, c’est aux contractants de décider de la langue selon laquelle la dernière version du contrat sera rédigée. Les deux parties doivent rechercher un traducteur assermenté pour effectuer les travaux relatifs à la traduction. La traduction du contrat s’en suivra, ainsi que son exécution.

Qu’en est-il  du coût de la traduction ?

Concernant le coût de la rédaction, les parties au contrat s’arrangent sur le paiement. Il se peut qu’il se fasse supporter par l’une ou l’autre partie au contrat uniquement. Cela dépend entièrement des termes des échanges faites avant même la rédaction du contrat. L’un des contractants peut aussi avoir exigé la traduction du contrat pour lui donner de la valeur juridique. Dans ce cas, les frais de la traduction lui seront imputés. Et puisqu’il s’agit d’affaire, le coût du service de la traduction de commerce international sera abordable pour les deux parties. L’assermentation donne une valeur officielle au contrat, nécessitant le travail d’un traducteur international. Les importations et exportations renferment des clauses très délicates à ne pas négliger lors de leur réalisation. Malgré cela, il n’est pas obligatoire de faire appel à un traducteur assermenté.Toutefois pour la valeur juridique du contrat, c’est l’option la plus avantageuse. Ainsi, pour tous les travaux à réaliser en matière de traduction en commerce international, il est toujours préconisé de faire appel à des traducteurs assermentés.

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